UN EVEILLEUR DE PEUPLE, DOMINIQUE VENNER

   "Ce que nous faisons n'est jamais compris mais seulement loué ou blâmé."(F.Nietzsche)

Dominique Venner

       Le 21 mai l'équipe de Terre&Peuple Vivarais, a comme tout le monde appris le décès de l'écrivain Dominique Venner...Mais, à l'encontre des politiques, des médias, nous n'avons pas la même vision sur son geste, que nous ne sentons pas, nous, désespéré!..Les journaleux, comme bien des sous produits du système considèrent la mort comme le mal le plus ultime, alors le suicide, cette "forme de violence contre soi même", le paroxysme de l'horreur... orchestration de notre église bien pensante, et de sa vision d'asservissement des êtres...Pour nous, européens libres refusant toute forme d'asservissement de la pensée sémitique, la mort est un choix personnel sur la voie de l'honneur, suivant les principes stoïciens, épicuriens...Lorsque le monde s'écroule et qu'il devient indécent de vivre au milieu de la gente humaine, comme nos ancêtres celtes ou cathares qui se jetaient dans des brasiers,ou des généraux romains pratiquant le DEVOTIO, Dominique Venner a choisi de réveiller nos consciences endormies par les sirènes d'un monde consumériste, par un acte simple et clair... L'écrivain Yukio Mishima, lui aussi, avait tenté de réveiller la grandeur des samouraïs, enfouis dans les ténébres de l'âme de ses contemporains. Nous montrant en exemple l'honneur du légat romain Régulus, fidèle à la maxime, VIRTUS et DIGNITAS, Dominique Venner a fait le choix de rejoindre la grande armée, dans les battements d'ailes des oies sauvages...Dominique Venner, nous te saluons!!!

                                             L'équipe de terre&peuple vivarais

« SURVIVRE A L’EFFONDREMENT ECONOMIQUE»

Survivre comme dans "délivrance"....

« SURVIVRE A L’EFFONDREMENT ECONOMIQUE» de Piero San GIORGIO

éd. Manuel Pratique

A ceux qui ont confiance dans le Système, qui disent qu’il ne s’écroulera jamais, ou bien qui, par lâcheté, ne veulent même entrevoir l’idée de perdre en quelques mois leur petit confort, leur télé, leur canapé, je dis : « Bon courage ! Vous, ou vos enfants, n’êtes que des morts en sursis… »

Aux autres, je dis qu’on peut être un « ancien scout », un « commando » de formation, ou tout simplement un jeune motivé qui s’entraine régulièrement au côté des siens, et avoir malgré tout quelque-chose à apprendre sur le sujet…

Un tremblement de terre, un attentat, un accident de la route, une catastrophe naturelle, un « Gang de barbares » qui étend son territoire, ou plus simplement une grève générale qui bloque le pays et affole la population,… tous ces évènements n’arrivent pas qu’aux autres…

Dans une société aseptisée, où tout le monde applique la théorie de l’accident, à savoir « ça n’arrive qu’aux autres », ce livre apporte de nombreuses pistes, et surtout :

Pourquoi la société dans laquelle nous vivons va forcément s’écrouler…

Nous avons tous en mémoire ces reportages sur le mouvement survivaliste américain qui nous montre ces hommes en train d’aménager un abri anti-atomique, ou une habitation à la pointe de l’autosubsistance. Face à ces donneurs de leçons individualistes ou shérif du monde moderne, l’auteur nous démontre que toute tentative de survie isolée est vouée à l’échec….

Individuellement, l’homme n’a aucune chance de survie…

...ou comme dans Mad Max,seul face a son destin....

Et, si notre objectif est la transmission (de la connaissance, de la Culture, du nom, mais surtout du Sang !), nous devons prendre conscience de cette réalité, mais aussi acquérir les bases techniques et les compétences que ce livre propose.

Après la lecture de ce livre, vous n’êtes pas obligé de commencer à creuser des douves autour de votre pavillon, ou de monter des barricades, mais, au moins, vous aurez la connaissance qui vous permettra de prendre les bonnes décisions...

LEGRAND Jacques

...ou simplement comme Darryl Dixson dans Walking Dead??

La communauté en Vivarais

Le dimanche 17 avril, nous avions organisé une balade en terre vivaroise aux alentours de Saint-Sylvestre. Le temps n’était pas avec nous mais l’on se contentait qu’il ne pleuvait pas pour partir au nombre de vingt. Les enfants, enthousiasmés, couraient et s’amusaient sur les chemins de terre.

La courte distance, nous amena rapidement à notre destination finale qu’était le pont romain, cela nous permit de faire pause, du temps de réunir tout le monde et de profiter du cadre naturel, nous laissant rêveur de l’histoire de ce pont et imaginatif sur les fées et lutins qui auraient pu border ce cours d’eau.

Les enfants s’amusaient et rigolaient, tout en montant sur le pont, tandis que les grands enfants se cherchaient entre eux et la bêtise était de mise, comme quoi l’âge ne fait pas la sagesse …  « Jeu de mains, jeu de vilains » comme l’aurait si bien rappelait l’Oncle absent ce jour-là, car une blessure pointa le bout de son nez. Du coup le retour aux voitures se  fit plus précipitamment et bien plus tôt que prévu. Les soins prodigués, un morceau de gâteau fut là, un réconfort pour certains et de la gourmandise pour d’autres.

Salutations amicales et en espérant être plus nombreux le 19 mai. Pour ce dimanche d’ailleurs, nous ne sommes encore décidés, car on pourrait faire une balade comme à notre habitude ou sinon nous vous proposons un pic nic le midi et l’après-midi serait consacré à la fête médiévale de Crest. Si toutefois vous avez une préférence, faites nous parvenir votre avis. Cordialement et remerciements.

Nono le Vivarois.

Interview de Serges Ayoub, BATSKIN

   Serges est un kamarade Nationaliste-révolutionnaire qui a eu l'amabilité de répondre à quelques questions, que nous lui avons posées...

Serges, peux-tu nous parler de ton parcours ?

    Un homme complet à plusieurs vies et j'ai donc plus d'un parcours. Mon premier est celui d'un fils de France, dont la famille a combattu génération après génération pour notre liberté. Parce que mon grand-père a fait 14 et a rempilé en 40. Parce qu'il n'a jamais accepté la défaite et a été de tous les combats jusqu'à la libération totale de notre pays. Parce que mon grand-oncle n'a pas supporté le déshonneur de l'occupation de sa patrie et que les Allemands défilent sur les champs Élysée et à préférer se donner la mort que de survivre à cet affront. Parce que mon père a fait la guerre d'Algérie. Parce que ma mère m'a inculquée la notion de service publique, je ne pouvais que dire non au renoncement et à l'abandon des valeurs qui ont fait le génie de cette Nation. Les gouvernements successifs de mon pays cherchaient à le détruire systématiquement, alors j'ai pris parti pour la France. Je suis devenu nationaliste.
Parce que dans un monde régi par le politiquement correct, véritable dictature en guimauve, j'ai choisi la liberté d'expression et la rébellion, je suis devenu skinhead. Car c'était la seule voie « où on pouvait encore tenir tête ».
Parce que français dans l'âme, c'est a dire héritier des francs, des "libres", j'ai choisie la liberté et la virilité et suis rentré dans un moto club comme d'autres dans un ordre monastique et guerrier.
Parce que la liberté et l'esprit d'aventure ont motivé chacune de mes pas, j'ai vécu au Japon, au Salvador en Russie et en Lituanie.
Parce que j'aime ma mère et ma patrie, je suis revenu dans mon pays comme on rentre à la maison.
Parce que j'ai vu en 2006 où était rendu mes idéaux et tout ce pourquoi je m'étais battu, alors j'ai ouvert un local et me suis remis à travailler comme une abeille dans sa ruche pour le bien de mon pays.
Voilà pourquoi j'ai ouvert et tenu depuis six ans Le local, j'ai réactivé Troisième voie et reformé les JNR.

Serge en visite dans la région Valentinoise

 
Quels philosophes, hommes célèbres t'ont le plus influencés ? 
    Comme beaucoup d'entre nous la base de ma réflexion est issue de la pensée aristotélicienne. J'ai aussi des références moins antiques et plus classiques comme Georges Sorel, Proudhon, Barrés, Alexis Carel, Albert de Mun, Karl Schmitt, le colonel de La Rocque, et dans une moindre mesure Maurras, non pas par choix mais par manque de temps, mais je compte comblée cette lacune aussitôt que possible. Bien sûr j'en oublie autant que j'en écris, mais cela n'a pas d'importance car ils ont influencé tout autant ma réflexion.
Les hommes célèbres qui m'ont influencé sont légion. Périclès, les Gracques, Marius, Jules César, Vauban, Robespierre, Babeuf, Napoléon, Napoléon III. Pour les hommes d'État. La poésie est importante et m'a beaucoup touché, Virgile, Villon, Shakespeare, La Fontaine, tous les parnassiens et une grande partie des romantiques auquel j'ajoute Victor Hugo, Baudelaire, Arthur Rimbaud et Gérard de Nerval. Rien de bien original en somme.
En littérature mes préférences portent sur la Flaubert, Balzac, Maupassant, Arthur Koestler et la littérature russe (si française) comme Pouchkine et Dostoïevski.
Vous le voyez mes influences sont multiples et sûrement opposables.

conférence en 2010 en Isère

Pourquoi relancé 3ième voie et les J.N.R ?

membre du JNR

   Certains pourraient croire que je suis porté vers la nostalgie ou que je manque cruellement d'imagination ou pire d'idées, mais ce n'est absolument pas le cas. Je n'ai pas non plus versé dans la mode vintage et le charme désuet des années 80. Tout au contraire je n'étais et ne suis toujours animé que par la stricte efficacité. JNR est plus qu'une valeur, c'est une légende. Je ne voyais pas l’intérêt de me passer de cet avantage décisif. De plus le nom de Troisième voie définissait très bien le message que nous voulions faire passer. Il était simple, clair, net, compréhensible de tous et connus de beaucoup. Une partie du travail était déjà fait, celui de faire connaître le nom. Voilà les principales raisons.

Quel message souhaites-tu délivrer à une personne de notre mouvance ?
   J'ai plusieurs messages à faire passer qui se résument en un seul. La prise de pouvoir et donc la froide efficacité. Il faut oublier le romantisme des causes perdues, la sclérose en plaque idéologique qui pousse à répéter les réponses vieilles d'un siècle à un monde qui a diamétralement changé du point de vue économique, social, politique et même ethnique. Les réponses c'est à nous de les écrire et surtout pas de les lire. Mais il y a pire c'est la posture, le témoignage qui fait mépriser tout ce qui est fait et regretter tout ce qui ne l'a pas été. Pour résumer nous avons tout à écrire et tout à faire, nous vivons une époque passionnante. 

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Quels sont les livres, sites internet, musiques que tu conseilles ?

   Je n'ai qu'un livre à conseiller, il est baroque, il est fou, il est vrai c'est Salammbô de Flaubert.
En politique je ne conseillerai qu'un site troisièmevoie.fr, un seul journal Salut Public (qui est en accès libre sur le site) et deux textes : G5G et la Doctrine du Solidarisme.

Comment envisages-tu l'avenir ?

   Une organisation rigoureuse, de la discipline, du travail, une doctrine nette comme un sillon dans la terre et la révolution arrivera inexorablement.
Mais dans un avenir proche je conseillerai de rejoindre l'armée des patriotes qui défileront ce 12 mai 2013 dés 10h00, à Paris, de la place de la Madeleine à la statue de Jeanne d'Arc.

Escapades

 

Ces derniers temps, on éssait de partir en escapade entre jeunes sur deux jours, voir plus si cela est possible, l’occasion de planter les tentes, de profiter de la nature, de faire courir les louloups et simplement de passer un bon moment entre nous.

Lors d’Ostara, on en a profité pour partir à trois dans le Pilat pour environ 50 kilomètres de marche avec une vue imprenable sur le Vercors, le mont Blanc ainsi que le beau paysage de la Loire. Le campement était proche d’un lac, un bon feu nous a réchauffé et cuit nos repas ( de simples moments, mais qui créé de bons souvenirs ).






Dernièrement, nous sommes partis à cinq dans les monts d’Ardèche, vers les sources d’Arcens et de la Loire vers le mont Gerbier de Jonc. Crapahutage de rigueur, un effort disciplinaire, mais une motivation sans failles et un émerveillement des plus sincère face à l’immensité de la nature, bien que l’on en a parcouru qu’une microscopique partie. Cette fois encore l’on a pu planter les tentes proche d’un lac, celui de Saint-Martial, où la température n’était que peu envié, mais nous étions tout de même bien équipé.

Toutes ces escapades, nous permettent autant de nous retrouver entre kamarades que de nous échapper de la ville et cette société, cela nous permet également de nous surpasser et d’apprendre à se débrouiller en pleine nature. On convie chacun des kamarade motivé à venir nous rejoindre dans de futures escapades ou même de nous en proposer.


Chaque photo est de moi et prise lors de nos randonnées.

Nono le Vivarois.